Maria (Français) - страница 34



La tête de Braulio, la bouche entrouverte et haletante, les yeux dépliés et les cheveux ébouriffés, émergeait des roseaux, un peu en retrait des arbres qui défendaient le dos de la bête : de son bras droit, il tenait sa lance, et de son gauche, il détournait les lianes qui l'empêchaient de bien voir.

Nous sommes tous restés sans voix ; les chiens eux-mêmes semblaient intéressés par la fin du jeu.

s'écrie enfin José :

Hubi ! Killaleon ! Hubi ! -Hubi ! Coupe-le, Truncho !

Il ne fallait pas laisser de répit à la bête, et Braulio ne devait pas courir plus de risques.

Les chiens repartent à l'assaut simultanément. Un autre d'entre eux est mort sans un gémissement.

Le tigre pousse un miaulement horrifié.

Braulio est apparu derrière le groupe de chênes, de notre côté, brandissant la hampe de la lance sans la lame.

La bête se retourna dans le même sens pour le chercher, et il s'écria :

Если вам понравилась книга, поддержите автора, купив полную версию по ссылке ниже.

Продолжить чтение